Chais d’oeuvre de Septembre 2017

Chaque mois, le sommelier génial Manuel Peyrondet déniche des pépites qu’il glisse dans une box aussi classe que son contenu.

Plus qu’une box, Chais d’oeuvre est un club puisque l’adhésion permet de bénéficier d’un large panel d’avantages : l’accès à des Ventes Flash hebdomadaires, sélections exclusives de Manuel Peyrondet, accessibles depuis l’espace membre que l’on crée en s’abonnant; l’accès aux soirées de dégustation organisées dans l’atelier parisien de Chais d’Oeuvre ou dans des lieux prestigieux ( Dégustations exclusivement réservées aux membres ) et enfin un accès privilégié au cercle des vignerons.

Nous testons, pour le mois de septembre, l’offre version originale, soit trois bouteilles. Une offre proposée au tarif de 79 euros. Un tarif plus que raisonnable au vu du prix de chaque bouteille et des services et avantages  supplémentaires qui sont offerts.

Pour accompagner la sélection, il y a dans la box un livret de 4 pages où les choix du prince de la sommellerie sont expliqués avec beaucup d’humour.

En plus du livret des vidéos sont mises en lignes sur le site.  Manuel Peyrondet y donne des explications et des conseils de dégustation.

Découvrons donc le contenu de cette box Chais d’oeuvre de Septembre 2017 :

• Mâcon Vieilles Vignes « Les cras » – 2015 – Blanc
• Saint-Nicolas de Bourgueil « Les Malgagnes » – 2015 – Rouge
• Pavillon de Taillefer Saint-Emilion Grand Cru – 2014 – Rouge

Mâcon Vieilles Vignes « Les cras » – 2015 – Blanc

Voilà un blanc parfait pour célébrer la rentrée. Un Mâcon, excellent jeune qui sera renversant si vous le conservez quelques années. A boire avant 2025 toutefois. Voilà un blanc qui a bluffé nos invités.  Nous avons servi ce Mâcon vieilles vignes à l’apéro, accomagné de petits morceaux de fromage coupés en dès. De la minéralité, de la puissance… une pure merveille qui, ce n’est pas étonnant, fait partie des « must-have » de la cave de Manuel Peyronnet.

Saint-Nicolas de Bourgueil « Les Malgagnes » – 2015 – Rouge

Nous respectons le conseil du sommelier. Ne pas boire ce Saint-Nicolas de Bourgueil avant 2018. Et promis, on le boira avant 2030.

Estampillé Bio, ce vin des Vallées de la Loire est un beau vin de garde et Manuel Peyronnet parle de lui comme l’un des meilleurs vins de l’appellation « une bombe capable de vous régaler en jeunesse ou dans 10 ans » annonce-t-il dans son explication.

Le domaine Saint-Nicolas de Bourgueil, c’est 1100 ha dont une partie profite des calcaires en coteaux.

Pavillon de Taillefer Saint-Emilion Grand Cru – 2014 – Rouge

Pour terminer, direction une minuscule propriété de 4,8 ha située sur Saint-Emilion et où un peu moins de 10 000 bouteilles sont produites chaque année. C’est dire que ce n’est pas le vin que l’on retrouvera au supermarché. Les bouteilles sont vendues à des restaurateurs avertis, à ceux qui savent l’accompagner de mets délicats.

Cette bouteille glissée dans la box Chais d’Oeuvre, nous l’avons servie pour une occasion bien spéciale. Ce Saint-Emilion grand cru a  accompagné une côte de veau et une poêlée de champignons cueillis en forêt le matin même. Nos invités et nous même, nous avons vécu une belle expérience de finesse. Un véritable plaisir du palais, une saveur taillée dans du velours… bref, une bouteille parfaite pour des moments à se souvenir.

Si ce Saint-Emilion peut parfaitement se boire jeune, il tiendra en cave jusque 2024.