Chais d’Oeuvre de juillet 2019

Chais d’oeuvre, c’est un concept de box qui s’apparente à un Club prémium.

En effet, en plus de recevoir le coffret mensuel ( De 2 ou 3 bouteilles selon la formule choisie) les abonnés ont droit à :

l’accès à 3 Ventes Flash hebdomadaires, sélections exclusives de Manuel Peyrondet, accessibles depuis l’espace membre que l’on crée en s’abonnant
l’accès aux soirées de dégustation organisées dans l’atelier parisien de Chais d’Oeuvre ou dans des lieux prestigieux ( Dégustations réservées aux membres);
des vidéos où  Manuel Peyrondet donne des explications et des conseils de dégustation; et enfin un accès privilégié au cercle des vignerons.
Manuel Peydonnet est un sommelier connu et reconnu. Il dispose d’une large collection de titres et de prix qui distinguent ses qualités de sommelier

Pour ce mois de juillet 2019, j’ai testé testé l’offre version découverte – soit trois bouteilles – proposée au tarif de 79 euros et qui contient « une bouteille au rapport prix-plaisir fabuleux, une appellation reconnue et une bouteille de rêve. »

Les bouteilles sont soigneusement disposées dans une boite cartonnée blanche, très élégante qui donne le ton d’une box qualitative. Les bouteilles sont accompagnées d’un petit fascicule de 10 pages où le sommelier explique avec humour les raisons de son choix, donne des conseils de dégustation ainsi que des suggestions d’accords et où une recette est également proposée ( Cette fois, c’est un bar de ligne rôti).

La box Chais d’oeuvre de juillet est composée de :

Vouvray sec – Ammonite 2016 – Domaine Alain Robert
Sancerre Rouge – La Noue 2017 – Domaine Claude Riffault
Alsace Grand Cru – Engelberg Riesling 2015 – Domaine Pfister

Vouvray sec – Ammonite 2016 – Domaine Alain Robert

Pour commencer, direction la Loire avec un Vouvray, cuvée Ammonite du domaine Alain Robert, millésime 2016. Cette bouteille est vendue 13,50 euros et, le rapport qualité/prix est génial car dégustée jeune cette bouteille est ultra-efficace en apéro, d’autant plus si le vin est carafé. C’est ce que nous avons fait ! Et nous avons adoré les arômes de ce Vouvray bien fruité et délicat en bouche.

Ceux qui ont une bonne cave peuvent garder ce vin 10 ans sans problème. D’autant qu’on sait que ce type de Chenin truffe avec les années.

Je pense vraiment que nous allons commander des bouteilles qui pourraient servir pour nos 10 ans de mariage ! A ce prix, nous sommes quasi sûrs de bluffer tout le monde en 2025 !

Sancerre Rouge – La Noue 2017 – Domaine Claude Riffault

C’est frais, c’est aérien, c’est délicieusement fruité, c’est charnu en bouche, c’est un sancerre rouge qui, tout en finesse, marque les esprits ! Les rouges de Sancerre ont beaucoup monté en gamme ces derniers années et les grands Sancerre n’ont plus rien à envier aux pinots bourguignons. En tout cas, LA Noue de Claude Riffault est, pour nous, un petit trésor dont nous n’oublierons pas le nom.

Nous avons dégusté ce vin avec un filet mignon et le moment était … parfait !

Alsace Grand Cru – Engelberg Riesling 2015 – Domaine Pfister

La dernière bouteille est un Engelberg Riesling du domaine Pfister. J’avais déjà eu l’occasion de goûter les vins de cette jeune vigneronne et comme la fois dernière fois je suis conquise car Mélanie Pfister démontre qu’on peut faure de grands rieslings, secs, concentrés, mûrs et sans lourdeur ! J’aime beaucoup les vins alsaciens et celui-ci, né pour vieillir jusqu’à 15 ans, est une petite merveille surtout dégusté avec du poisson. C’est un vin harmonieux qui gagnera en complexité avec les années.

Pour ceux qui, comme moi, ont toujours des bouteilles de riesling à la maison, celui-ci est vraiment un incontournable à avoir absolument dans sa cave !